22 mars 2008
6
22
/03
/mars
/2008
00:26
Voilà.
Ca y est.
Inutile de se voiler la face, on ne peut plus reculer. Il fallait y penser avant. Maintenant, c'est trop tard.
A tout seigneur tout honneur, si j'ose dire. Deux ans et demi de dur labeur pour Fabien et d'amateurisme au clavier pour votre serviteur et finalement, nous y sommes:
L'album est désormais prêt à sortir, le 27 mars 2008, chez tous les bons libraires. (En est-il de mauvais?)
Tout d'abord, un petit moyen mémo-technique pour le reconnaitre dans les rayonnages. C'est tout simple, il ressemble à ça:
Et quand vous l'ouvrez, vous pouvez trouver de belles choses comme ça - mais avec du texte:
Ou bien comme ça, aussi:
Ne nous voilons pas la face, Fabien et moi sommes ravis.
Cet album est magnifique, promis à un brillant avenir, lequel passe par une place de choix dans le plus grand nombre possible d'étagères de lecteurs déchainés. A commencer par vous, fidèles lecteurs de ce blog. (Vous sentez l'appel du pied à grands coups de rangers taille 56?)
Ce qui passe par une communication appuyée, pour laquelle nous n'allons pas mégoter. Nous avons même déjà commencé, avec une première séance de dédicace lors du lancement de l'album au Salon du Livre de Paris, le week end dernier.
Plutôt que de vous infliger une note entière sur ce baptême du feu - à laquelle vous n'échapperez de toute façon pas dans un avenir proche - et parce que les images parlent souvent bien mieux d'elles-mêmes (et en tout cas bien mieux que moi), ceux qui ont raté cet évènement peuvent voir un sélection de photos souvenirs sur le site du Seigneur des Couteaux, que l'adorable Glam a monté pour l'occasion, qu'elle en soit remerciée ici.
Glam est également photographe, et elle est pour beaucoup dans la réussite de la couleur de l'album, puisqu'elle a préparé chaque planche pour Fabien et a fait un dernier passage pour y rajouter le texte. Elle est accessoirement dotée d'une patience d'ange puisqu'elle a réparé sans broncher la catastrophe technique que j'ai déclenchée en trifouillant dans ledit site. (Quand je vous dis que je suis Web 0.9)
Allez y jeter un oeil, ça marche du tonnerre, et ça vous aurait même une certaine allure.
Nous alimenterons progressivement la bête, mais vous pourrez déjà voir combien Fabien met du coeur dans ses dédicaces, proprement splendides. Et combien un scénariste se tourne les pouces en dédicace, mais ceci est une autre histoire.
A ce propos, je sais ce que vous allez dire. Déjà que je ne poste pas beaucoup sur ce blog, si en plus je dois alimenter un site supplémentaire....
Mais vous êtes mauvaises langues. Et puis vous n'avez pas vraiment le choix.
Concernant la petite merveille - l'album, donc - il se murmure qu'il est déjà disponible en librairie ici et là, une vieille coutume ancestrale voulant en effet que tout carton réceptionné par un libraire digne de ce nom soit immédiatement éventré, et son contenu avantageusement exposé aux yeux de tous.
Je confirme ces rumeurs. Je l'ai moi-même vu trôner dans un rayonnage pas plus tard qu'aujourd'hui.
Ce qui me fait revenir à cette angoisse qui m'étreint depuis que j'ai réalisé l'erreur fatale qui était la notre:
Si les gens peuvent désormais le voir et l'acheter, cela veut dire que les journalistes aussi.
Ca y est.
Inutile de se voiler la face, on ne peut plus reculer. Il fallait y penser avant. Maintenant, c'est trop tard.
A tout seigneur tout honneur, si j'ose dire. Deux ans et demi de dur labeur pour Fabien et d'amateurisme au clavier pour votre serviteur et finalement, nous y sommes:
L'album est désormais prêt à sortir, le 27 mars 2008, chez tous les bons libraires. (En est-il de mauvais?)
Tout d'abord, un petit moyen mémo-technique pour le reconnaitre dans les rayonnages. C'est tout simple, il ressemble à ça:
Et quand vous l'ouvrez, vous pouvez trouver de belles choses comme ça - mais avec du texte:
Ou bien comme ça, aussi:
Ne nous voilons pas la face, Fabien et moi sommes ravis.
Cet album est magnifique, promis à un brillant avenir, lequel passe par une place de choix dans le plus grand nombre possible d'étagères de lecteurs déchainés. A commencer par vous, fidèles lecteurs de ce blog. (Vous sentez l'appel du pied à grands coups de rangers taille 56?)
Ce qui passe par une communication appuyée, pour laquelle nous n'allons pas mégoter. Nous avons même déjà commencé, avec une première séance de dédicace lors du lancement de l'album au Salon du Livre de Paris, le week end dernier.
Plutôt que de vous infliger une note entière sur ce baptême du feu - à laquelle vous n'échapperez de toute façon pas dans un avenir proche - et parce que les images parlent souvent bien mieux d'elles-mêmes (et en tout cas bien mieux que moi), ceux qui ont raté cet évènement peuvent voir un sélection de photos souvenirs sur le site du Seigneur des Couteaux, que l'adorable Glam a monté pour l'occasion, qu'elle en soit remerciée ici.
Glam est également photographe, et elle est pour beaucoup dans la réussite de la couleur de l'album, puisqu'elle a préparé chaque planche pour Fabien et a fait un dernier passage pour y rajouter le texte. Elle est accessoirement dotée d'une patience d'ange puisqu'elle a réparé sans broncher la catastrophe technique que j'ai déclenchée en trifouillant dans ledit site. (Quand je vous dis que je suis Web 0.9)
Allez y jeter un oeil, ça marche du tonnerre, et ça vous aurait même une certaine allure.
Nous alimenterons progressivement la bête, mais vous pourrez déjà voir combien Fabien met du coeur dans ses dédicaces, proprement splendides. Et combien un scénariste se tourne les pouces en dédicace, mais ceci est une autre histoire.
A ce propos, je sais ce que vous allez dire. Déjà que je ne poste pas beaucoup sur ce blog, si en plus je dois alimenter un site supplémentaire....
Mais vous êtes mauvaises langues. Et puis vous n'avez pas vraiment le choix.
Concernant la petite merveille - l'album, donc - il se murmure qu'il est déjà disponible en librairie ici et là, une vieille coutume ancestrale voulant en effet que tout carton réceptionné par un libraire digne de ce nom soit immédiatement éventré, et son contenu avantageusement exposé aux yeux de tous.
Je confirme ces rumeurs. Je l'ai moi-même vu trôner dans un rayonnage pas plus tard qu'aujourd'hui.
Ce qui me fait revenir à cette angoisse qui m'étreint depuis que j'ai réalisé l'erreur fatale qui était la notre:
Si les gens peuvent désormais le voir et l'acheter, cela veut dire que les journalistes aussi.